Burkina-Faso: La communauté internationale a échoué dans sa tentative d’instrumentaliser le terrorisme pour réaliser ses projets diaboliques

La communauté internationale avait voulu semer le flou autour de la question du terrorisme au Burkina Faso, en utilisant des termes « inappropriés et inacceptables » de groupes armés non étatiques ou groupes armés organisés au lieu de groupes terroristes. Or au Burkina, il n’ya jamais eu de groupes armés rebelles. La crise sécuritaire que traverse le pays est dû à l’expansion du terrorisme dans le Sahel. L’objectif était de faire croire à l’opinion internationale que les fils et filles du Faso étaient divisés ou n’étaient pas unanimes autour de la vision du MPSR.

Et par là, il serait déployé au Burkina une force onusienne  et imposer aux autorités d’engager des pourparlers et des négociations avec les groupes criminels. Une voie de résolution de la crise sécuritaire qui serait parallèle à la stratégie de guerre mise en place par le Capitaine Ibrahim Traoré pour sortir son pays du joug terroriste. Car pour lui, il n’est pas question de négocier avec ceux qui s’en prennent aux paisibles populations sans raison « Ces terroristes ne défendent rien, ils n’ont aucun idéal« , a t-il martelé.

Guidé par sa clairvoyance, le Président Traoré, de même que les institutions républicaines ont dénoncé et rejeté ces appellations qui sont utilisées à dessein, derrière des agendas cachés. Ils ont de même expulsé les diplomates onusien et français qui étaient en mission commandée pour freiner la bonne marche de la lutte anti-terroriste.

Selon les analystes, il est évident que la montée en puissance des forces combattantes équipées de matériels sophistiqués et la nouvelle tournure de la guerre font peur non seulement aux terroristes mais aussi à leurs patrons occidentaux qui usent de tous les moyens pour diviser le peuple, démoraliser les forces armées, affaiblir la lutte pour enfin  réintroduire leurs troupes et reprendre le contrôle du pays.

Mais leur plan a échoué du fait du soutien sans faille que manifeste la population aux autorités de la transition et aux  combattants que sont les FDS et les VDP malgré les multiples stratégies de manipulation.

Depuis l’acquisition d’armes modernes au profit de l’armée, les troupes régulières ont pris le dessus, obligeant les terroristes qui étaient il y’a quelques mois en territoire conquis à se replier dans les forêts et s’abriter dans les hameaux et sous les arbres. Une nouvelle tournure qui donne de l’espoir au peuple burkinabè qui voit la lueur du bout du tunnel.

Luc FOUROU

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