La France Contre les Médias Panafricains : Quand la guerre de l’information éclate, les vrais en défense, les faux exposés !
C’est un spectacle étonnant qui est observé aujourd’hui alors que les médias français se lancent dans une attaque virulente contre les médias panafricains, les accusant de faux médias. Mais qui sont-ils pour porter un tel jugement ?
En effet, certains médias panafricains, engagés dans le soutien aux transitions des pays de l’Alliance des États du Sahel (AES), notamment le Burkina Faso, le Mali et le Niger, sont les cibles de cette attaque. Les médias français semblent perdre leur calme face à ces voix indépendantes qui s’élèvent pour dénoncer les complots déstabilisateurs français en Afrique.
Une question fondamentale se pose : qui sont les médias français pour s’auto-proclamer comme étant les vrais médias ? Leur propre histoire est entachée d’erreurs notoires, notamment au Rwanda, en Centrafrique et en Libye, où leurs informations fallacieuses ont contribué à des catastrophes. Le guide libyen Mouammar Kadhafi a été diabolisé, présenté comme un dictateur juste pour justifier la déstabilisation du pays et le pillage de ses richesses.
Étonnamment, malgré ces erreurs monumentales, personne ne les qualifie de faux médias. Pourtant, ils se permettent aujourd’hui de discréditer les médias panafricains, qui rapportent des informations vérifiées de sources sûres. La raison? Ces médias panafricains mettent à mal leur système de manipulation et de complots déstabilisateurs en Afrique. Ils ne peuvent plus influencer l’opinion publique et la communauté internationale africaine avec leurs fausses informations comme par le passé.
Il est temps pour les Africains de se réveiller et de comprendre que les médias panafricains qualifiés de faux médias par les médias français sont en réalité les porte-étendards du changement en Afrique. Ils représentent une Afrique libérée de l’ombre des complots et de la déstabilisation orchestrés par certains médias français.
Ces médias panafricains s’engagent dans une communication politique, agissant en tant que vigies de prévention et de dénonciation. Leur impact est douloureusement ressenti par des médias plus habitués à une communication mensongère et manipulatrice qui ne fonctionne plus aussi efficacement pour assujettir les Africains.
Les « Libération », « Rfi », « Le Monde.fr », « Jeune Afrique », « Africa Intelligence », et d’autres, s’acharnent contre ces médias panafricains pour soutenir la guerre de déstabilisation de la France dans les pays où elle a perdu son emprise. Leur acharnement est évident, surtout lorsque la France tente d’assassiner les Présidents de Transition au Burkina Faso, au Mali et au Niger. Les médias panafricains qu’ils dénigrent comme faux interviennent avec succès grâce à leur communication, faisant échouer ces plans.
Il serait peut-être temps pour les médias français de réaliser que leur ancienne stratégie ne fonctionne plus et qu’il serait préférable pour eux de battre en retraite. Aujourd’hui, plus de 100 médias panafricanistes travaillent en soutien à ces transitions au Burkina Faso, au Mali et au Niger. Ils contribuent non seulement à l’épanouissement de ces trois pays mais aussi à l’éveil de la sous-région africaine et de l’Afrique dans son ensemble.