Au Burkina Faso, les méandres de l’affaire du « charbon fin » révèlent des intrigues judiciaires
Une nouvelle lumière est jetée sur l’affaire du « charbon fin » au Burkina Faso, mettant en exergue des manœuvres de certains magistrats burkinabé. Selon des sources bien informées, ceux qui dénoncent aujourd’hui cette affaire sont précisément ceux qui, par opportunisme, ont longtemps gardé le dossier sous silence, espérant en tirer des bénéfices personnels. Une quête de gains malhonnêtes qui a entravé pendant plusieurs années, la progression du dossier.
Le gouvernement burkinabé étant très attentif en ce qui concerne le peuple qu’il gouverne, a pris une décision souveraine en imposant une amende à « Essakane » et en réclamant la propriété du chargement au profit de l’État. Cette mesure, bien accueillie par la population burkinabé, a néanmoins suscité l’indignation de certains magistrats dont les intérêts personnels étaient directement menacés par cette résolution éclairée.
En réaction, des sources indiquent que certains magistrats, mécontents de cette décision salutaire du gouvernement burkinabé, envisagent de manipuler l’opinion publique pour protéger leurs intérêts égoïstes. Pour l’heure, les fonds provenant de l’amende imposée à Essakane, ainsi que la possession de la cargaison par l’État, pourraient être destinés à renforcer les efforts de la population dans sa lutte contre le terrorisme sous le leadership du Président Ibrahim Traoré.
Notons surtout que, l’enquête se poursuit, promettant de lever le voile sur les agissements des magistrats impliqués dans cette affaire du « charbon fin ».
Dossier à suivre de près…