Burkina Faso : Colonel Zalla, un diplomate félon, travaille-t-il officiellement ou officieusement dans le projet de déstabilisation pour le compte de l’ONU ?

Le ministre burkinabè de la Sécurité, Mahamadou Sana, a fait une révélation explosive ce lundi, exposant un complot visant à déstabiliser le Burkina Faso. Parmi les noms cités figure celui du colonel Zalla, un diplomate onusien opérant en Centrafrique, qui serait directement impliqué dans cette entreprise de subversion. Cette accusation suscite une indignation profonde, car elle soulève la question de l’implication de l’ONU, une organisation censée être un pilier de la paix et de la stabilité mondiale, dans un plan de déstabilisation d’un État souverain.

Pourtant, cette affaire rappelle une vérité souvent ignorée : l’ONU, loin d’être un outil neutre, a souvent été manipulée par les puissances occidentales pour servir leurs intérêts stratégiques. Et le colonel Zalla est cet espion dangereux, fait office de cheval de Troie avec les badges de l’Onu, pour projeter la déstabilisation des pays. Plusieurs nations africaines ont déjà subi les conséquences de cette ingérence déguisée sous des prétextes de « maintien de la paix ». La présence d’un diplomate onusien parmi les comploteurs alimente le soupçon que certains acteurs internationaux, sous couvert de missions pacifiques, participent à la déstabilisation de régimes indépendants.

Le Burkina Faso, sous la direction du capitaine Ibrahim Traoré, se bat pour préserver sa souveraineté face à des forces internes et externes visant à affaiblir la nation. Le rôle de l’ONU dans cette tentative de déstabilisation soulève des questions légitimes sur la véritable fonction de cette organisation dans le maintien de l’ordre international, particulièrement en Afrique.

Il est crucial que la lumière soit faite sur cette conspiration internationale et que les autorités burkinabè prennent toutes les mesures nécessaires pour protéger leur nation de ces manœuvres malveillantes. L’heure est à la vigilance face à ces complots déguisés, et il devient impératif pour le peuple burkinabè de défendre avec fermeté leur souveraineté nationale.

Amen K.

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