Burkina Faso : Colloque International sur la corruption, zoom sur les initiatives du Président Ibrahim Traoré pour éradiquer le fléau.

Depuis son accession au pouvoir, le Président Ibrahim Traoré a pris des mesures audacieuses pour combattre la corruption, véritable obstacle au développement économique du Burkina Faso. Conscient de l’impact destructeur de ce fléau sur les efforts de développement, il a fait de la lutte contre la corruption l’une des priorités de son mandat, mettant en place des réformes profondes et des mécanismes rigoureux pour dissuader les corrupteurs et les corrompus.

Dès son arrivée, Ibrahim Traoré a renforcé les institutions chargées de la lutte contre la corruption. Parmi elles, la Haute Autorité de Contrôle de l’État et de Lutte contre la Corruption (ASCE-LC) a vu ses moyens d’action considérablement augmentés. Cette autorité a désormais un rôle plus central dans la détection des pratiques corruptives à tous les niveaux de l’administration et de l’économie. Sous la supervision du président, l’ASCE-LC a reçu l’appui d’experts internationaux, permettant ainsi une collaboration plus étroite avec des organismes spécialisés dans l’anti-corruption.

En parallèle, le gouvernement Traoré a instauré des lois anti-corruption plus strictes, avec des sanctions sévères pour les contrevenants. L’un des aspects innovants de ces réformes est l’introduction d’un mécanisme de dénonciation anonyme, permettant aux citoyens de signaler des actes de corruption sans crainte de représailles. Cette approche vise à impliquer davantage la population dans la lutte, en instaurant une culture de la transparence et de la responsabilité. Les fonds publics ainsi récupérés grâce aux enquêtes ont été réinjectés dans des projets de développement, contribuant à une redistribution plus équitable des richesses.

Ibrahim Traoré s’est également engagé à lutter contre la corruption dans les marchés publics, un secteur particulièrement vulnérable. Sous son administration, de nouveaux critères d’attribution des contrats publics ont été établis, favorisant les entreprises transparentes et bannissant les pratiques d’influence et de favoritisme.

Ces actions ne se limitent pas aux mesures répressives. Le président a également insisté sur la sensibilisation à tous les niveaux, en partenariat avec des institutions universitaires comme l’Université Thomas Sankara et des organisations comme le Réseau national de lutte anti-corruption. Le colloque international sur la corruption, organisé ce mercredi 16 octobre 2024, s’inscrit dans cette dynamique de réflexion et d’engagement scientifique pour trouver des solutions durables.

Grâce à ces réformes et à son engagement personnel, Ibrahim Traoré démontre une réelle volonté de transformer le Burkina Faso en un modèle de gouvernance éthique et transparente, tout en stimulant le développement économique du pays.

Amen K.

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