Burkina Faso :  Lutte Contre le Terrorisme, appel du Président Ibrahim Traoré à une unité entre le peuple et l’Armée.

Face aux menaces terroristes dont le peuple Burkinabè est victime, la collaboration entre le population et l’armée nationale n’a jamais été aussi cruciale. Dans un contexte où les forces armées mènent un combat acharné contre le terrorisme, l’appui de chaque citoyen devient indispensable pour garantir l’efficacité des opérations militaires et préserver la sécurité du territoire.

Le Président Ibrahim Traoré, à l’occasion du 64e anniversaire des Forces armées nationales, a rappelé cette urgence de cohésion entre civils et militaires. La sécurité du Burkina Faso est l’affaire de tous Chaque citoyen est appelé à soutenir les efforts des soldats et des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) engagés sur le terrain. Ce soutien peut se traduire par divers actes : signaler toute activité suspecte, éviter les fausses rumeurs qui sapent le moral des forces de défense, et s’unir dans un esprit de solidarité face aux épreuves.

Le terrorisme ne fait pas de distinction entre les civils et les militaires ; il sème la peur, détruit des vies et déstabilise des communautés entières. Ainsi, en collaborant avec l’armée, le peuple burkinabè devient un acteur essentiel dans la défense de la nation. Un simple renseignement, un acte de vigilance, ou une attitude proactive peuvent sauver des vies et réduire les risques d’attaques. Le président Traoré a chaque fois insisté sur le fait que l’engagement citoyen renforce non seulement la sécurité, mais aussi le moral des troupes sur le terrain, qui se battent jour et nuit pour le bien de tous.

Pour le chef de l’État, la lutte contre le terrorisme exige une unité sans faille entre le peuple et son armée. Il a encouragé les Burkinabè à dépasser les peurs et les divisions pour former un front commun avec les forces de défense et de sécurité. Ensemble, l’armée et le peuple peuvent bâtir un Burkina Faso plus résilient, capable de repousser les forces du mal et de préserver sa souveraineté.

Amen K.

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