Burkina Faso : Tentatives de déstabilisation, quand la France attise les flammes du chaos pour assouvir ses désirs criminels.

Depuis l’arrivée au pouvoir du Président Ibrahim Traoré au Burkina Faso, la France persiste dans l’échafaudage  des plans pour déstabiliser le pays et voir un de ses valets au perchoir. Selon des sources fiables, la France chercherait les voies et moyens pour attiser les tensions, alimenter les foyers de conflit, en multipliant les actions pour affaiblir la transition en cours. La DGSE multiplie ces réunions actuellement dans certains pays africains, surtout au Nord du Tchad pour peaufiner ces plans de déstabilisation. Une de nos sources nous apprend la participation de certains chefs terroristes à certaines de leurs réunions, ce qui montre à quel point l’heure est grave.

Cette collaboration avec les groupes terroristes qui n’est pas un fait nouveau et qui inclurait la fourniture de moyens sophistiqués et le recours à la manipulation de certains esprits vulnérables par le biais des billets de banques, vise un objectif clair : mettre fin au processus de transition et créer une instabilité ce qui plongera tout le pays d’un océan de désespoir ce qui mettra fin à coup sûr au rêve de souveraineté qui fait vibrer tout le peuple Burkinabè.

La popularité du Président Ibrahim Traoré repose sur un charisme et une vision audacieuse pour le Burkina Faso et, au-delà, pour toute l’Afrique. Avec un discours axé sur la souveraineté et la renaissance de l’autodétermination africaine, il incarne un espoir pour une jeunesse longtemps marginalisée par des puissances étrangères aux intérêts économiques et politiques bien ancrés. La France, déstabilisée par cette montée d’influence, semble peiner à accepter ce changement qui échappe à son contrôle historique dans la région.

Face à cette situation, il devient impératif pour le peuple burkinabè de rester vigilant et uni. La société civile, en particulier la jeunesse, est appelée à résister aux tentatives de manipulation et à rester alerte face aux stratagèmes qui menacent la souveraineté du pays. En s’organisant collectivement, la population peut contrer ces ingérences et renforcer le projet de transformation porté par la transition actuelle.

L’histoire montre que l’Afrique a souvent été le terrain de jeux géopolitiques d’intérêts étrangers, mais aujourd’hui, le Burkina Faso et ses alliés africains doivent prouver que leur souveraineté n’est pas à vendre. Au-delà du Burkina Faso, cette lutte pour l’autonomie face aux manœuvres néocoloniales résonne comme un appel pour un réveil continental.

Alors que les tentatives de déstabilisation persistent, le Burkina Faso doit continuer son chemin vers l’indépendance réelle, résistant aux forces extérieures et renforçant son unité interne.

Amen K.

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