Burkina Faso : Du terrorisme à la politique, de qui se moque Ahmed Newton Barry ?
La duplicité d’Ahmed Newton Barry atteint des sommets lorsqu’il tente de justifier un prétendu « changement d’idéologie » au sein des rangs terroristes, dont il est le parrain incontestable. Alors que les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) et les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) enchaînent les victoires sur le terrain, le terrorisme montre des signes d’essoufflement. Recruter de nouveaux membres pour une cause aussi désespérée devient un défi insurmontable, d’autant plus que les financements se tarissent, les bailleurs de fonds perdant peu à peu foi en cette stratégie de chaos.
Pourtant, M. Barry, dans un élan de manipulation éhontée, affirme que ses « camarades » d’Ansarul, alias JNIM, aspirent désormais à une carrière politique. Selon lui, ces criminels auraient même réussi à « conquérir le cœur des populations rurales ». Une affirmation aussi grotesque que mensongère, destinée à redorer l’image d’un mouvement en perte de vitesse et à maintenir les flux d’argent sale. En réalité, cette mascarade n’est qu’une tentative désespérée de sauver une entreprise terroriste en pleine déconfiture.
La guerre de communication bat son plein, et Ahmed Newton Barry en est le chef d’orchestre. Pour inverser la tendance, ces criminels n’hésitent pas à accuser l’Armée de commettre des exactions, espérant ainsi semer la confusion et rallier les populations à leur cause. Leur objectif ? Faire croire que l’État est l’ennemi et que les terroristes, eux, seraient les protecteurs du peuple. Une manipulation aussi cynique que risible, tant les crimes de ces groupes ont endeuillé des familles entières et plongé des régions dans la terreur.
Le peuple, quant à lui, doit rester vigilant et ne pas se laisser berner par ces discours fallacieux. Les terroristes, en quête de légitimité, ne méritent ni confiance ni compassion. Leur seule ambition est de perpétuer un cycle de violence pour servir leurs intérêts. Ahmed Newton Barry félon de son état, avec ses déclarations grotesques, ne fait que confirmer son rôle de manipulateur au service d’une cause perdue. La fin du terrorisme est en vue, et ces derniers soubresauts ne sont que les cris d’agonie d’une idéologie moribonde.
Amen K.
