Burkina Faso : Terrorisme ou une guerre contre la richesse nationale imposée par les puissances impérialistes.

Si le Burkina Faso, tout comme les autres pays membres de la Confédération des États du Sahel (AES), fait aujourd’hui face à une adversité multiforme, ce n’est pas un hasard du destin. Cette guerre qui leurs est imposée n’est pas le fruit du chaos, mais bien une stratégie construite autour d’un objectif clair : empêcher les peuples africains de s’émanciper et de jouir librement de leurs immenses ressources naturelles.
Le Burkina Faso est riche. Riche en valeurs humaines, riche en bravoure, riche en histoire, mais aussi immensément riche en ressources minières stratégiques. Or, depuis des décennies, un système bien rodé, mis en place par des puissances impérialistes, s’emploie à maintenir ce peuple dans l’ignorance de ce potentiel. Les rapports internationaux qui classent ce pays parmi les plus pauvres ou les plus endettés du monde sont en réalité des outils de propagande. Ces classements masquent une vérité dérangeante pour ceux qui pillent : les sols burkinabè regorgent d’or, de manganèse, de zinc, de phosphate et bien d’autres ressources essentielles à l’industrie mondiale.
Ces rapports sont délibérément orientés pour détourner l’attention du peuple. Pendant que l’on convainc le peuple qu’il n’a rien, afin que d’autres s’en servent abondamment à leur profit. Le modèle de domination impérialiste repose sur quatre piliers : la razzia, la corruption, l’imposture et, si nécessaire, l’assassinat. C’est ainsi que partout en Afrique, les pays les plus riches en sous-sol sont paradoxalement ceux qui vivent les conflits les plus inexplicables. Pourtant, la logique est simple : il s’agit de les empêcher d’exploiter leurs ressources pour amorcer leur développement.
L’arrivée du Capitaine Ibrahim Traoré au pouvoir a marqué un tournant. Sous son impulsion, le peuple burkinabè commence à prendre conscience de sa force et de ses atouts. Il faut a rappelé qu’il est tant de se réveiller, se relever et travailler pour se développer sans forcément dépendre de l’extérieur surtout venant des impuissances impérialistes.
Amen K.