Afrique / Burkina Faso : Après les pays francophones, la France sur le point d’utiliser le duo anglophone pour mettre fin au régime du Président Ibrahim Traore. Nana Akufo-Addo essaie à nouveau

Décidément, le Président Ghanéen Nana Akufo-Addo, est dans une grande hypocrisie avec les autorités de la transition Burkinabé. Après son déplacement difficile à Ouagadougou, pour selon lui, renforcer la coopération, le Président Ghanéen vient encore une fois de montrer à quel point, il doit aider la France dans la réussite de sa mission.

En effet, la stratégie française ne passe plus dans les pays francophones. La quasi-totalité des dirigeants pays francophones, refusent de se prêter au jeu de la déstabilisation de France, sauf quelques-uns, qui refusent de prendre officiellement le devant. Après le Bissau-Guineen, Monsieur Umaru Sissoko Embalo, qui a donné le meilleur de lui-même, pour faire tomber le pouvoir du Président Ibrahim Traoré.

Cette fois-ci, la France se tourne vers un duo anglophone. Le Ghana et le Nigeria seront la destination prochaine des panafricanistes, pour les dénonciations de complots. À la fin de son mandat à la tête de la CEDEAO, le Président Umaru Sissoko Embalo a été sommé de faire une sortie dans « jeuneafrique », pour permettre à son successeur de prendre le relais.

Ne pouvant plus revenir sur des anciens dossiers dont l’existence des complots a été démontrée, le Président Ghanéen, après la dernière sortie de Embalo parlant de stigmatisation des peuls, prend le relais.

En effet, pour favoriser un autre massacre, Monsieur Nana Akufo-Addo ordonne le rapatriement des réfugiés peuls, sans contacter les autorités Burkinabé pour des dispositions de sécurisation. Selon plusieurs experts, le Président Ghanéen fait partie de la mise en place d’un complot de massacre. En éjectant, cette communauté peule à la frontière avec le Burkina Faso, ceci est une manière de permettre à des hommes en tenues militaires de procéder à un massacre pour ensuite accuser les soldats Burkinabé et officialiser l’entrée du nouveau président de la CEDEAO, dans le dossier Burkinabé avec des prises de décision ?

Le nouveau président de la CEDEAO, doit savoir à quoi s’en tenir, car l’Afrique est mobilisée pour défendre et protéger les autorités du Burkina Faso.

Dossier à suivre…

Marc DIMBA

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