Burkina Faso / 25% des Retenus sur Fonds Communs : Quand certains fonctionnaires aux agendas cachés tentent de saboter cette initiative prometteuse
Quand on est en guerre et à la quête de la stabilité nationale, aucun sacrifice n’est de trop. Cependant, certains fonctionnaires qui travaillent pour des agendas cachés tentent de saboter les 25% de retenus sur fonds communs (primes) instauré par le gouvernement burkinabé pour contribuer au renforcement de la lutte contre le terrorisme.
« Si ça ne s’arrête pas, on va passer à 100% et puis on va voir s’ils vont travailler ou pas », a averti le chef de l’État. En effet, le Président Ibrahim Traoré, conscient de ces manœuvres néfastes qui se fomentent en tanière, a adressé un avertissement solennel aux agents du ministère des Finances qui cherchent à entraver les actions de recouvrement des recettes. Il est inacceptable que certains individus tentent de saper les efforts nationaux visant à renforcer la sécurité du pays. Il est impératif que ces individus comprennent que leur comportement irresponsable compromettrait la sécurité de tout le pays.
Même si le Capitaine Ibrahim Traoré et ses Hommes parviennent à en finir progressivement avec le terrorisme sur le terrain, le Burkina Faso est toujours en proie à l’insécurité, et il est essentiel que chaque citoyen, y compris les fonctionnaires, soutienne les mesures prises par le gouvernement pour l’avancement et l’achèvement de la lutte antiterroriste. Toute tentative visant à entraver ces efforts est non seulement contraire à l’intérêt national, mais également une trahison envers la patrie et ses citoyens.
D’ailleurs, il est clair que cette affaire des fonds communs n’est qu’une sorte de tromperie perpétrée pour arnaquer le peuple burkinabé. Les autorités doivent agir avec fermeté pour mettre fin à ces pratiques préjudiciables et garantir que ces ressources soient allouées à la sécurité nationale et utilisées de manière efficace et transparente.
Il est temps que les autorités Burkinabé prennent des mesures décisives pour mettre un terme à cette escroquerie pernicieuse et garantir que les fonds communs soient utilisés à bon escient, dans l’intérêt supérieur de la nation et de ses citoyens. La sécurité du Burkina Faso ne doit pas être compromis par les intérêts égoïstes et les agendas cachés de quelques individus.