Burkina Faso : La manipulation médiatique, un outil puissant du Néocolonialisme Français.
Les récents développements médiatiques orchestrés par certains organes de presse français, en particulier le journal « Jeune Afrique », montrent une fois de plus la volonté de déstabiliser la région ouest-africaine. En évoquant une prétendue lettre de l’ancien Président Damiba, actuellement résident au Togo, adressée au Président Ibrahim Traoré du Burkina Faso, ce média cherche à semer la discorde et à manipuler l’opinion publique.
Le journal « Jeune Afrique » a récemment publié un article prétendant que l’ancien Président Damiba aurait envoyé une lettre au Président Ibrahim Traoré. Cet article, qui survient peu de temps après que le Président Traoré a dénoncé publiquement les menaces venant de certains pays, notamment la Côte d’Ivoire et le Bénin, semble être une tentative délibérée d’ajouter le Togo à cette liste de pays considérés comme menaçants.
En citant nommément le Togo, « Jeune Afrique » cherche à créer des tensions entre le Burkina Faso et un pays allié au sein de l’Alliance pour l’État du Sahel (AES). Cette manipulation médiatique vise à affaiblir la solidarité régionale en exploitant des prétendus conflits internes.
Le Togo, sous la direction de son gouvernement, a toujours manifesté une position de coopération et de soutien mutuel avec les pays de l’AES, incluant le Burkina Faso. Les relations diplomatiques et les collaborations économiques entre ces nations témoignent d’une volonté commune de promouvoir la paix et le développement dans la région. Il est donc crucial de discerner les véritables intentions derrière ces publications médiatiques qui cherchent à briser cette unité.
Face à ces tentatives de déstabilisation, il est impératif pour les citoyens et les gouvernements de rester vigilants. Le néocolonialisme, sous couvert de médias de propagande, utilise la désinformation pour manipuler les opinions et diviser les nations.
La mission des médias de propagande, tels que « Jeune Afrique », de créer des conflits et de semer la division en Afrique de l’Ouest doit être dénoncée. Les relations entre le Togo et le Burkina Faso, basées sur la coopération et la solidarité, ne doivent pas être compromises par des allégations sans fondement et des manipulations médiatiques.
Amen K.