Burkina Faso : Le Président Ibrahim Traoré ou une gouvernance de proximité avec la population.
Le Président Ibrahim Traoré, depuis son arrivée au pouvoir au Burkina Faso, a mis en œuvre une gouvernance axée sur la proximité avec son peuple, plaçant l’intérêt supérieur de la nation au cœur de ses actions. Cette approche, innovante et inclusive, vise à garantir que chaque Burkinabè, indépendamment de son niveau d’éducation ou de sa maîtrise du français, puisse pleinement comprendre et participer à la gestion des affaires publiques.
L’une des mesures phares de cette politique est la traduction des textes fondamentaux régissant les institutions en langues nationales. Cette démarche répond à un besoin crucial : celui de rendre la loi accessible à tous. Après l’annonce de la traduction de la Constitution burkinabè, l’Autorité supérieure de contrôle d’État et de lutte contre la corruption (ASCE-LC) a récemment annoncé que la loi portant prévention et répression de la corruption sera bientôt disponible dans les langues nationales telles que le mooré, le dioula, le fulfuldé, le gourmantché et le bissa. Cette initiative témoigne de la volonté des autorités d’impliquer les communautés locales dans la lutte contre la corruption, un fléau qui gangrène le développement du pays.
Cette politique de proximité du Président Traoré représente bien plus qu’une simple mesure linguistique ; elle est une reconnaissance du droit de chaque citoyen à comprendre et à participer à la vie de son pays. En s’assurant que la population ait accès à des textes juridiques et politiques dans leur langue maternelle, le gouvernement renforce la démocratie participative, favorise une meilleure appropriation des lois et, par conséquent, encourage une société plus juste et équitable.
Cette vision du Président Traoré démontre un profond respect pour le peuple burkinabè et un engagement sincère à promouvoir la sécurité, la transparence et le bien-être collectif.
Amen K.