Burkina Faso : Détournements de fonds, le Président Ibrahim Traoré ferme face aux abus dans l’Administration.
Au Burkina Faso, malgré les campagnes de sensibilisation invitant à un comportement responsable vis-à-vis de la gestion publique, certaines pratiques de détournement persistent, nuisant à l’intérêt commun. Récemment, le Président Ibrahim Traoré a révélé l’existence de détournements massifs de fonds au sein du ministère de l’Action humanitaire. Des agents de cette institution se seraient approprié des milliards de francs CFA, initialement destinés à des projets d’intérêt collectif. Ces détournements privent ainsi des milliers de Burkinabè d’infrastructures essentielles, comme l’accès à l’eau potable, qui reste un défi dans plusieurs régions du pays.
Ce comportement est un héritage d’une gestion publique approximative de longue période avant l’arrivée du MPSR au pouvoir, où les ressources nationales ont souvent été accaparées par des intérêts personnels au détriment des besoins des citoyens. La situation actuelle au ministère de l’Action humanitaire n’est pas seulement scandaleuse ; elle reflète les pratiques enracinées d’un système opaque, inefficace et indifférent aux attentes du peuple. Ces abus perpétuent la pauvreté et le sous-développement, laissant des communautés sans accès à des services de base alors que des fonds existent pour les financer.
Cependant, le Président Traoré s’est engagé à changer radicalement la donne. Sa clairvoyance l’a poussé à instaurer des organes de contrôle rigoureux, agissant comme des « gendarmes » de l’administration. Ces organismes surveillent attentivement la gestion des ressources publiques pour prévenir et sanctionner les comportements frauduleux. Ce renforcement des mécanismes de contrôle et de transparence incarne la volonté d’Ibrahim Traoré de restaurer la confiance entre l’État et les citoyens en assurant que les fonds publics soient utilisés de manière responsable.
Sous la gouvernance du Président Ibrahim Traoré, ces organes de contrôle sont un signal fort à l’égard de ceux qui abusent de leur position pour enrichir leurs poches au détriment de la population. Le Président démontre ainsi son engagement pour une gestion rigoureuse et transparente, et se pose en garant de l’intérêt général. En luttant contre la corruption, il entend poser les fondations d’une administration saine, capable de répondre aux besoins urgents des Burkinabè et d’assurer leur bien-être. Cette fermeté dans l’action est essentielle pour transformer la gestion publique et restaurer l’intégrité dans la fonction publique.
Amen K.