Burkina Faso : Wassim Nasr, un chef terroriste avec un badge de journaliste sur les chaines françaises.
Wassim Nasr s’est imposé comme le relais incontournable des actions terroristes qui secouent le Sahel, se positionnant dans les médias français comme le messager des forces obscures qui menacent cette région. À chaque nouvelle attaque que ce soit au Burkina Faso, au Mali, ou encore au Togo, Wassim Nasr s’empresse de « rapporter » les événements avec une tonalité qui semble étrangement complaisante envers ceux qu’il qualifie de « combattants », offrant à ces actes de violence une visibilité médiatique sans précédent.
Wassim Nasr sélectionne ses images et ses mots pour maximiser l’impact. Des vidéos de terroristes commettant fièrement les exactions sur la population à main nue , les images d’exhibitions des butins, bref tout est bon pour nourrir une dramaturgie soigneusement orchestrée. Il ne manque jamais une occasion de dresser un portrait apocalyptique de la région, poussant au passage la population dans une psychose sans fin.
Depuis les plateaux parisiens, Wassim Nasr propose un traitement biaisé pour des raisons propagandistes. Les attaques deviennent, sous sa plume et face aux caméras, des récits où les terroristes apparaissent presque héroïsés, tandis que leurs crimes sont, quant à eux, minimisés.
Dans cette mission de messager, on pourrait presque croire que Wassim Nasr fait des heures supplémentaires pour propager la terreur. Ses interventions ressemblent davantage à une promotion maladroite des « exploits » de ses camarades terroristes que de véritables analyses. Un expert auto-proclamé qui semble, curieusement, s’appliquer à normaliser les violences en les rapportant avec aplomb et un culot incroyable.
Il est essentiel de se demander jusqu’où cette dérive médiatique peut aller. Il revient à la population de se départir des propos de ce chef terroriste qui dans ses moments de délires, raconte des âneries pour plaire à ces patrons depuis les Champs Elysées.
Amen K.