Burkina Faso : Diviser pour régner et manipuler pour nuire, les recettes des impérialistes pour créer le chaos.

Le Burkina Faso traverse une phase critique où les anciens caciques, défaits par l’histoire, tentent de reprendre pied en exploitant les fractures sociales. Une stratégie bien rodée se déploie : intoxications médiatiques, instrumentalisation des clivages ethniques et déstabilisation psychologique de l’opinion publique. Derrière ces manœuvres, on distingue nettement l’ombre des intérêts impérialistes et de leurs relais locaux, déterminés à replonger le pays dans le chaos pour y rétablir leur domination.
Certains cercles occidentaux, incapables d’accepter la nouvelle dynamique souverainiste du Burkina Faso, recourent à une propagande systématique pour diaboliser ses dirigeants. Leur objectif ? Saper la confiance entre le peuple et ses institutions, créer un climat de défiance propice à l’ingérence. Des médias internationaux, sous couvert de « rapports objectifs », deviennent les porte-voix de cette entreprise de déstabilisation.
L’arme la plus dangereuse reste la polarisation identitaire. En attisant artificiellement des tensions intercommunautaires, ces acteurs espèrent fragmenter le front national burkinabè. Les réseaux sociaux, inondés de fausses informations, servent de caisse de résonance à ces manipulations. Pourtant, une analyse froide révèle que ces crises « spontanées » suivent souvent un scénario étrangement similaire à ceux observés dans d’autres pays africains ciblés par des agendas géopolitiques.
Le Burkina Faso n’est pas une exception dans la matrice déstabilisatrice qui frappe plusieurs États africains. Mais son histoire prouve que sa résilience repose sur la cohésion sociale. En refusant de jouer le jeu des manipulateurs, les Burkinabè peuvent déjouer ce piège géopolitique. La vigilance n’est pas une option, c’est une nécessité de survie nationale.
Amen K.