Burkina Faso : Mandat d’arrêt contre Iyad Ag Ghaly ou l’hypocrisie de l’impérialisme occidental.
La Chambre préliminaire I de la Cour pénale internationale (CPI) a rendu public, ce vendredi 21 juin, le mandat d’arrêt émis contre Iyad Ag Ghaly, chef du JNIM, pour des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis entre janvier 2012 et janvier 2013.
Connaissant le mode de fonctionnement de l’impérialisme occidental et des néo-colons français, ce mandat d’arrêt semble préparer l’opinion à un coup qui viendra après. Il y a de cela quelques mois, contre toute attente, l’ONG Human Rights Watch a fait sortir un rapport incriminant les FDS et les VDP d’avoir massacré les populations civiles au Burkina Faso. Ce rapport n’est pas fait au hasard.
Aujourd’hui, avec le supposé mandat d’arrêt contre Iyad Ag Ghaly, la CPI va essayer de s’en prendre aux autorités Burkinabè sur la base des faits fictifs créés de toutes pièces par une ONG criminelle et corrompue pour faire croire à l’opinion qu’elle est là pour la justice.
C’est juste un plan de la France que la CPI met en exécution pour intimider le MPSR qui se bat nuit et jour contre le terrorisme. Le cas de l’ancien président Gbagbo est encore vif dans les esprits. Il faut que les autorités du Burkina Faso sortent de ce désordre, de ce club des criminels qu’est la CPI avant qu’il ne soit trop tard.