Burkina Faso : Une nouvelle ère économique s’annonce avec l’engagement du patronat Idrissa Nassa, sous la vision du Capitaine Ibrahim Traoré
Le Burkina Faso, sous la direction énergique du Capitaine Ibrahim Traoré, accueille une ère nouvelle avec l’élection d’Idrissa Nassa à la tête du conseil national du patronat burkinabè. L’installation officielle du nouveau président, le 7 décembre 2023, a été marquée par un discours visionnaire et un appel à l’unité nationale pour stimuler le développement.
Idrissa Nassa, désormais président du patronat burkinabè, s’est présenté comme le serviteur de tous les acteurs économiques. Dans son discours inaugural, il a appelé à la fin des antagonismes stériles qui ont parfois divisé les petits commerçants des grands, l’économie informelle du secteur structuré, les industriels des agriculteurs, et même l’administration publique du secteur privé. Tous, selon lui, sont appelés à œuvrer ensemble pour le bien du Burkina Faso. Le président du patronat a annoncé son intention de lancer des consultations étendues pour élaborer un plan stratégique reposant sur cinq axes majeurs : la réorganisation du patronat, la construction d’un siège institutionnel de renom, l’élargissement de la représentativité, le renforcement du plaidoyer économique et du dialogue social, ainsi que l’expansion des opportunités d’affaires.
Le Président de la Révolution burkinabé, le Capitaine Ibrahim Traoré, conscient de l’importance de la production interne pour l’économie nationale, a exhorté le patronat à inscrire la vision du développement endogène dans son agenda stratégique. Il a souligné que l’importation excessive, particulièrement de produits de base tels que le riz, devrait être remplacée par une production locale soutenue par des investissements sérieux. Le chef de l’État a fixé des objectifs ambitieux pour réduire drastiquement les importations d’ici 2025, avec des incitations structurantes pour les acteurs du secteur.
Cette vision ambitieuse s’étend également à d’autres produits de consommation courante comme le lait et l’huile. Le Capitaine Ibrahim Traoré a souligné l’importance de discuter rapidement des voies et moyens pour employer les jeunes et les orienter vers des secteurs productifs, contribuant ainsi au développement de l’industrie agroalimentaire. Le chef de l’État a souligné le lien indissociable entre développement économique et paix sociale, mettant en garde contre les conséquences de l’oisiveté qui peut conduire à des activités préjudiciables, y compris le recrutement de jeunes dans des mouvements terroristes. En conclusion, le Capitaine Ibrahim Traoré a assuré aux délégations des patronats des pays amis que le Burkina Faso est une destination privilégiée pour l’investissement. Il a salué les opportunités d’affaires en partenariat avec les patrons burkinabè et a souligné la stabilité du pays et son engagement envers ses engagements.
Notons qu’en geste de solidarité, le patronat burkinabè a offert deux chèques d’une valeur totale de 200 millions de francs CFA pour soutenir l’effort de paix et venir en aide aux veuves et orphelins des forces de défense et de sécurité (FDS) ainsi que des volontaires pour la défense de la patrie (VDP).
