Silence complice : L’ONU, l’Union Européenne, l’Union Africaine et la CEDEAO, font-elles le lit des terroristes au Burkina Faso ?

Burkina Faso

Alors que le Burkina Faso, sous la direction déterminée du Capitaine Ibrahim Traoré, remporte des victoires significatives contre le terrorisme, les grandes organisations internationales, à savoir l’ONU, l’Union Européenne, l’Union Africaine et la CEDEAO, semblent avoir perdu la langue. Sont-elles complices du silence devant les exploits de l’Armée burkinabé ou simplement indifférentes à la vie des Burkinabé ?

Le dimanche 26 novembre dernier, un événement marquant s’est déroulé à Djibo : la neutralisation de plus de 400 terroristes, venus en nombre pour causer des dommages aux populations et tenter de prendre en otage le territoire. Ce progrès notable dans la lutte antiterroriste au Burkina Faso, mériteraient au moins une mention de la part de ces défenseurs autoproclamés des droits humains. Cependant, leur mutisme est éloquent. Aucune condamnation des terroristes, aucune félicitation envers les forces armées burkinabé, et aucun signe de soutien n’ont été enregistrés.

Pourtant, lorsque des civils burkinabé sont attaqués par des terroristes en tenue militaire, ces organisations sont promptes à publier des communiqués condamnant l’Armée et les autorités, semant le doute sur leur compétence. La CEDEAO, en particulier, en tant qu’organisation sous-régionale, aurait pu au moins condamner ces attaques qui auraient pu causer des pertes massives si l’armée n’avait pas agi avec compétence, dévouement et dynamisme. La question se pose : la CEDEAO, l’Union Africaine, l’ONU et l’Union Européenne sont-elles complices des terroristes ? Ont-elles intérêt à voir les terroristes prospérer au Burkina Faso ?

Pas moins que cette semaine, l’Union Européenne a même émis une position contre l’abrogation de la loi nigérienne sur le trafic de migrants par le Chef de l’État nigérien, le Général Tiani. Leur ingérence dans les affaires des États souverains est-elle une tentative de saboter les progrès accomplis par ces pays ? Ces organisations semblent guetter le moindre prétexte pour pointer du doigt les autorités burkinabé, mais peinent à reconnaître les succès indéniables de l’Armée. Leur silence face à ces réussites contraste avec leur empressement à médiatiser les attaques, créant ainsi une image biaisée de l’efficacité de l’Armée burkinabé.

Il est grand temps que ces organisations cessent cette attitude partiale et reconnaissent ouvertement les efforts du Burkina Faso dans la lutte contre le terrorisme sous la gouvernance du Capitaine Ibrahim Traoré. Leur silence actuel ne fait que ternir leur crédibilité et soulève des interrogations sur leur véritable engagement envers la stabilité et la sécurité dans la région.

Aline Ouédraogo

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