Burkina-Faso: Umaro Sissoco Embaló s’érige en défenseur des peulhs et cautionne les violences barbares. Un signe de colère suite à ses débâcles continues

peulhs

La guerre déclenchée contre le terrorisme au Burkina est-elle synonyme de stigmatisation des peulhs? C’est la question qui vient à l’esprit suite à la dernière sortie  médiatique du Président Umaro Sissoco Embaló où, une fois encore, il se déchaîne contre le Burkina-Faso, en mettant en cause la lutte farouchement engagée pour libérer le pays des emprises coloniales et terroristes.

Connu comme un Chef d’Etat qui se laisse mener par le bout du nez pour des intérêts personnels, le Président de la Guinée-Bissau, se porte volontaire pour prendre la défense des groupes terroristes sur la base de leur appartenance ethnique,  au détriment des pauvres populations et des forces de défense qui subissent les attaques lâches.

Les milliers victimes de la furie et actes de violences des groupes terroristes ne sont-ils pas des humains?

Certes, il est bien connu que la majorité des jeunes recrutés par les groupes terroristes au Burkina sont des peulhs. Un fait qui n’est pas nouveau, car tout comme au Niger et au Mali, les peuls se laissent facilement manipulés par les leaders terroristes et les occidentaux, ennemis du développement de l’Afrique. Même constat en Centrafrique et au  Tchad où les jeunes de cette communauté se font engagés comme mercenaires pour commettre des barbaries et autres atrocités. Des faits sur lequel le Président Embaló préfère fermer les yeux pour s’en prendre au Président Traoré et aux autres Chefs d’Etat de la sous-région qui refusent de se faire dicter les lois.

Il sied de rappeler à Embaló qu’en plus de la lutte armée, les autorités burkinabè renouvellent sans cesse les appels  à déposer les armes.

Quelle autre piste de solution propose-il alors à la libération du Burkina, quand il est prouvé que les négociations entamées par les prédécesseurs du jeune Capitaine se sont révélées comme non seulement inefficace mais dangereuse face au fléau?

Au lieu de se déchaîner contre ses pairs de la sous-région pour valider le plan de déstabilisation préparé par la France, Umaro Embaló gagnerait à se concentrer sur la gestion de son pays, où, le peuple las de son amateurisme et de son mimétisme enchaîne des actes de contestation.

 

Rama POLE

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