Nous allons porter plainte contre (...), dixit Capitaine Ibrahim Traoré

L’Occident n’a jamais changé sa perception de l’homme noir. Mais le temps est venu pour ce dernier de montrer qu’il n’est ni un sous-homme, ni un esclave. Il ne tolérera plus jamais cet état de fait. C’est le message cinglant qu’a délivré le Capitaine Ibrahim Traoré, Chef de l’État burkinabé, lors de sa rencontre explosive avec les Volontaires de Défense de la Patrie (VDP) ce jeudi.

Au cours de cet échange crucial et sans concession, Traoré a fustigé les rapports fallacieux publiés par la soi-disant ONG Human Rights Watch, accusant l’armée burkinabé de massacres de civils (chose aberrant). « Il faut que l’on se rappelle quelque chose. Dernièrement, une soi-disant ONG, ce n’est même pas une ONG, car une ONG est censée être non gouvernementale, et celle-ci ne l’est pas. Elle est financée par des budgets fédéraux, par des États » a-t-il martelé.

Le Capitaine Traoré n’a pas mâché ses mots. « Cette soi-disant ONG produit des rapports fallacieux et mensongers pour accuser nos Forces de Défense et de Sécurité (FDS) d’exactions. Leur objectif est clair : saper votre moral et vous effrayer pour vous empêcher de combattre efficacement, » a-t-il asséné aux VDP, ses paroles frappant comme des balles. Mais le Chef de l’État ne s’est pas arrêté là. Il a annoncé l’intention du Burkina Faso de porter plainte contre cette ONG. Il a rappelé les conséquences désastreuses de leurs mensonges, comme en Libye, où de tels rapports fallacieux avaient conduit à la rébellion contre Mouammar Kadhafi, sa chute et la déstabilisation du pays. Cette déstabilisation a ouvert la porte au terrorisme rampant au Sahel, un fléau qui ravage aujourd’hui de nombreuses régions du Burkina Faso.

« Nous devons agir contre ces prétendus défenseurs des droits humains, » a déclaré le Président Ibrahim Traoré, le feu de la détermination brûlant dans ses yeux. « Cette guerre, c’est pour nous sortir de l’esclavage. Soit on accepte de combattre, soit on reste esclaves pour toujours. » Son appel est clair : il faut se battre pour libérer la terre de nos ancêtres. Le Capitaine Traoré a exhorté les VDP à ne jamais baisser leur garde. « Ne dormez pas. Qu’il pleuve, qu’il vente, combattez les ennemis de la Nation sans pitié, » a-t-il ordonné. « Chaque village, chaque route libérée est une victoire contre ceux qui veulent nous voir à genoux. » Enfin, Traoré a annoncé le lancement d’une nouvelle phase dans la lutte contre le terrorisme. Les VDP doivent désormais sortir de leurs communes pour défendre des lignes plus larges, signalant une intensification de la campagne militaire. « Vous allez prendre les lignes de front, repousser les frontières de notre liberté. Cette offensive est cruciale pour notre survie, » a-t-il proclamé.

Le message du Président Ibrahim Traoré est clair et sans équivoque : le Burkina Faso ne sera plus jamais une victime silencieuse. La nation est en marche, prête à défendre chaque centimètre de son territoire contre les forces de l’oppression et du mensonge.